À court d’idées, à court d’arguments, à court de crédibilité, le M23/AFC, cette marionnette rwandaise usée jusqu’à la corde, ressort les vieilles photos, les scènes ordinaires d’hier, pour en faire les faux scandales d’aujourd’hui.
Et comme toujours, leur cible favorite s’appelle Patrick Muyaya. Il est attaqué avec la même méthode, le même poison, la même obsession.
Une photo, prise en 2020, au restaurant Limoncello, au numéro 20 de l’avenue Tombalbaye, commune de la Gombe, devient tout à coup une « preuve » inventée.
À l’époque, Corneille Nangaa qui fréquentait tout le monde, y compris les journalistes, avait déjà la barbe blanche, qu’il rasait parfois. Aujourd’hui, ils tentent de réécrire cette image avec des légendes fantasmées, des raccourcis mensongers, et des titres racoleurs.
Mais à ce jeu du mensonge recyclé, la vérité reste debout.
Le peuple Congolais n’est dupe. Il comprend parfaitement bien que cette bande d’ennemis de la paix et responsables de graves crimes commis contre ses filles et fils n’a tellement rien à dire qu’elle fouille dans les poubelles du passé pour construire des récits cousus de fil blanc.
Pendant que le Congo lutte pour sa souveraineté et sa paix, le Rwanda et ses relais Congolais tordent la réalité comme on tord un chiffon sale.
Muyaya, lui, continue son travail selon les orientations du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi avec courage, détermination et patriotisme. Et c’est cela qui dérange.
Message clair : « On ne calomnie que ceux qui dérangent… ceux qui bossent bien! On ne ment que quand on a peur de la vérité. »
Cette nouvelle attaque des terroristes du clavier contre notre Ministre de la Communication, c’est surtout l’aveu d’un système de désinformation à bout de souffle.
Le mensonge, c’est leur arme.
La vérité, c’est notre bouclier.