‘‘ C’est le coeur qui donne » ce slogan intériorisé par Eliezer Ntambwe dit ndeko Eliezer lui fait payer les pots cassés, les pots qu’il n’a pas cassé.
Depuis un temps et surtout à la veuille de la sortie d’un gouvernement ou son remaniement, un vent sous forme d’une diabolisation souffle dans certaines officines pour saper l’image de cet acteur politique , combattant de première heure, ou alors pour desorienter l’opinion sur l’essentiel dans le but de l’écarter de la gestion de la chose publique d’un pouvoir dont il a essuyé plâtres et devrait bénéficier.
Si ce ne sont pas des mensonges distillés dans les réseaux sociaux, c’est parfois la mauvaise interprétation de ses analyses audiovisuelles. Mais pour quel but? Se demandent plusieurs analystes.
La dernière cabale montée en date est cette plainte déposée hier jeudi 23 Janvier 2025 à la cour de cassation par un groupe des Personnes Vivant avec Handicap instrumentalisé par leur Ministre de tutelle Irène Esambo au prix des billets de banques pour obtenir la tête de Ntambwe entendez par là »tête de Lion ».
Ces derniers l’accusent d’incitation aux troubles à l’ordre public, manipulation et dénigrement de leurs membres.
Ils vont plus loin pour dénoncer la création par lui, d’un mouvement dont ils reconnaissent sa genèse, nous citons Mouvement de Réveil des Personnes Vivant avec Handicap MRPVH en sigle, dans l’objectif de saboter les actions menées par le gouvernement par l’entremise de leur Ministère. Ajoutent-ils.
Cependant, nul n’ignore que depuis un temps, le seul souci de Monsieur Ntambwe est de voir cette catégorie de personnes être mise dans les conditions normales ( humaines) comme toutes les autres personnes surtout avec la création d’un ministère tout entier en leur faveur.
Pour la petite histoire, cela fait plus de 6 ans que Eliezer Ntambwe avait lancé sa structure Pesa Moninga Sourire PMSen sigle, dans le but de venir en aide aux personnes vulnérables en leur donnant le sourire, plusieurs actions caritatives sont menées à Kinshasa tout comme à l’intérieur du pays. Des chaises roulantes, machines à coudre, béquilles, construction des toilettes, des dons en vivres et non vivres sont distribués au moins trois fois l’an selon les moyens, ceci sans compter une quinzaine d’enfants dont il prend en charge, scolarité, loyer, soins de santé etc…Tout ceci avant même l’idée de la création de ce ministère délégué aux PVH et personnes vulnérables.
De la création du MRPVH
Il s’agit ici d’un mouvement créé par les personnes vivant avec handicap sur l’initiative de l’un de leurs au nom de Dexcy Masena il ya une année seulement, soit en 2023 juste après la grande rencontre organisée au terrain Ocal de la Rtnc en Août de la même année, rencontre à laquelle la Première Dame Denise Nyankeru avait rehaussé de sa présence sur invitation de l’initiateur qui n’est personne d’autre que le député national Eliezer Ntambwe.
Ainsi donc, toutes les actions menées par cette structure (ndlr MRPVH) n’impliquent en rien Eliezer Ntambwe même si certains de leurs membres ont adhéré librement dans son parti politique ACR créé d’ailleurs il ya deux ans et demi, pendant que PMS existait il ya 6 ans.
En réalité, MRPVH et Eliezer Ntambwe n’ont aucun lien car ce dernier a commencé à aider les PVH et vulnérables il ya longtemps.
Visiblement, estime Eliezer Ntambwe, il s’agit d’une simple distraction pour distraire l’opinion et la détourner de l’essentiel qui est cette menace des rebelles du M23 dans la partie Est de la Rdc, une menace contre laquelle lui en tant que parlementaire s’ implique en proposant plusieurs actions pour soutenir nos vaillants soldats au front.
Irène Esambo, Ministre de son état, devrait se concentrer sur les attributions lui confiées au lieu d’user les moyens mis en sa disposition pour instrumentaliser ceux qui ne se sont même pas retrouvés depuis qu’elle a été nommée à la tête dudit ministère.
Partout où ses semblables haussent le ton pour réclamer leurs droits, elle ne voit que l’ombre d’Eliezer Ntambwe qui ne rêve même pas de prendre ce ministère, même s’il s’agissait de faire des concessions. A toujours dit le président national de l’Acr.
Nous y reviendrons.