Au lendemain de la lecture des ordonnances présidentielles sur les nominations des mandataires publics, la grande composante de cette entreprise, au titre d’actionnaire principal a démontré son indignation et promet de pouvoir se retirer de la chose au cas où les règles et normes ne seront pas respectées.
Il s’agit de la FEC ( Fédération des Entreprises du Congo) qui est en colère suite à la nomination des 4 membres du conseil d’administration de la caisse nationale de sécurité Sociale CNSS en sigle, qui selon la Fec , la procédure n’a pas respecté la carte.
La nomination de 4 nouveaux membres du conseil d’administration , contrairement aux lois qui régissent une composante << CNSS >>.
Elle devrait être organisée ainsi selon l’article 11 du décret n°18/027 du 14 juillet 2018 portant création, organisation et fonctionnement de cette dernière qui stipule : << le conseil d’administration est composé de manière tripartite et paritaire par les partenaires sociaux que sont l’État, les Employeurs et les travailleurs.>> l’État congolais aura deux représentants dont l’un sera choisi Directeur Général par consensus des partenaires sociaux et nommé par ordonnance du Président de la République, accompagné d’un représentant des organisations Professionnelles des Employeurs ainsi qu’un représentant des organisations Professionnelles des travailleurs.
Ce principe reste violé jusqu’à présent sur la nomination de 4 membres du conseil d’administration de la CNSS qui provoque la colère de ces tripartites.
Par contre les 4 nominations de la CNSS sont des politiques qui n’ont même pas de rapprochement à ses fonctions à l’instar de l’ancien directeur général adjoint qui se retrouve dans cette équipe.
À ce sujet , notons que le chef de l’État a été encore une fois de plus désorienté par les politiciens congolais qui ne jurent que sur la destruction de la caisse nationale de sécurité Sociale afin de pouvoir applaudir à la faillite de cette dernière.
C’est le rapport sur l’augmentation du réserve réalisé par l’actuel Directeur Général ai Jean Simon MFUTI kiaku de 500 millions de dollars américains qui a suscité l’intérêt égoïstes des politiciens qui souffrent de la discipline avérée de Monsieur MFUTI.
Ainsi les composantes de la CNSS , le syndicat et la Fec , mécontents de ces nominations , interpellent le chef de l’État de pouvoir ouvrir l’oeil et le bon sur la manigance fallacieuse qui prône actuellement dans la nomination des animateurs de cette entreprise.
La FEC sollicite une réparation de ce drame qui ne dit pas bon sens sur le bien fondé des agents et cadres de la CNSS.
Au cas contraire , la Fec promet son arrêt sur la contribution et le retrait imminent des ses cotisations.
Voilà comment la chute de la CNSS est organisé par les politiques congolais qui ont concuru à la nomination des politiques dans le conseil d’administration de la CNSS.
L’occasion pour plus d’un congolais de lancer un cri d’alarme sur la chute de cette entreprise qui s’annonce au cas où le chef de l’État ne sera pas saisi sur cette hypothèse qui lui est cachée jusqu’a présent.
Les agents de la CNSS n’auront que leurs yeux pour pleurer et ça sera un misère qui s’invitera dans leurs familles respectives au moment où la Fec prendra ses décisions de pouvoir quitter la CNSS, a dit un congolais averti.
En vue de pouvoir sauver cette entreprise, nous ne pouvons que compter sur la vigilance du président de la République, chef de l’État pour pouvoir sauver un bon nombre de familles qui ne vivent de la CNSS , ainsi que tous les pensionnés de la République qui sont aujourd’hui heureux de pouvoir avoir un mandataire digne à la tête de la CNSS pour leur survie après leur carrière.
Et les pensionnés et les travailleurs de la CNSS sont en prière pour enfin voir le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo avoir un œil regardant dans cette affaire pour prévenir la chute de la CNSS, a ajouté un autre observateur.
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