Jupess TEMBUE
On se croirait dans un état où les plus forts dictent leurs lois à cause des fonctions qu’ils occupent ou de l’argent du contribuable qu’ils détournent jours et nuits.
C’est le cas d’un certain Danny Mukuna Kalambayi, actuel Président du Conseil d’Administration de la regideso qui a par ses influences, envoyé injustement en prison un juge reconnu du pays au tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe, au nom de Héraclès Tshibola MULUMBA et Monsieur Sam Bakasende, coordonnateur du mouvement citoyen Cocoluco, mais il a été rattrapé par la vérité.
Il a joué au plus malin en escroquant gratuitement le savoir et le répertoire du coordonnateur du mouvement citoyen qu’il n’a pas voulu payer après le services rendus, va se transformer après en victime.
Danny Mukuna, PCA de sont état, qui est d’ailleurs soutenu par un conseiller connu sous le nom de Serge, ont tout usé pour que le juge Héraclès et le cordon Sam Bakasende se retrouvent à Makala sans raison valable, après avoir subi humiliation, coups, torture morale et physique, menasse de mort, brandissant l’arme à feu au CNS comme un professionnel de torture.
Selon une source pendant cette période, les biens du juge du tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe ont été confisqués notamment un téléphone Fold 3, 600 USD et 473 000 FC, une chaînette en or, un laptop HP /2022, pris et confisqué dans son véhicule qui était garé devant Rotana par ce même conseiller Serge, leur bourreau.
Cette façon de justice des plus forts ne cadrent pas avec la vision du président de la République qui a prôné l’état des droits et une justice pour tout le monde.
La question que plus d’un se pose dans cette affaire est de savoir combien gagne un mandataire, qui a réussi à mettre la justice dans sa poche, même les députés provinciaux plus de 20, qu’il aurait payé à chacun 15.000 USD comme corruption pour que ces derniers soutiennent sa candidature au poste du gouverneur. Avons nous appris des sources proches du dossier.
Les 2 prévenus,( Héraclès Tshibola et Sam Bakasende) qui dénoncent la calomnie et la diffamation du PCA et toute sa bande, avaient grâce à leurs avocats, soulevé une exception qui sera traitée ce mardi à la cour constitutionnelle.
La justice élève une nation dit-on.