La présidente de la fondation Monica Kayene connue sous le nom de Maman Cathy Kayene a accordé une interview avec une radio de la place dans le cadre de la célébration de la date du 8 mars, journée dédiée à la femme sur plusieurs sujets, la création de sa fondation, le rôle de la femme dans la société, le processus électoral sans oublier l’État de droit prôné par le chef de l’État.
Manager et femme de caractère, Madame Cathy Kayene veuve de son état et mère de plusieurs enfants, est présidente d’une fondation au nom de »Monica Kayene » qui œuvre dans le secteur social pour venir en aide aux nécessiteux.
Cette fondation est plusieurs d’autres d’ailleurs qu’elle a initié, ne bénéficie d’aucun soutien extérieur, elle demeure la seule donnatrice de ses actions sociales.
Dans le cadre de la journée de la femme et se basant sur le thème général qui est adapté à l’ éducation numérique égalitaire pour la paix et l’autonomisation de la femme de la RDC, Cathy Kayene estime que » la femme congolaise devrait se cultiver pour savoir se défendre, elle doit savoir utiliser la nouvelle technologie pour dénoncer toutes formes de violences dont elle est victime plus particulièrement celle de l’Est. »
Selon cette mère de famille, la femme congolaise doit prendre conscience, « elle ne peut être défendue que par elle même «
Concernant le processus électoral, la fondatrice de Monica Kayene lance un message de Paix à toutes les parties prenantes pour un climat apaisé de ce processus.
Même appelle lancé pour l’unité de tous suite à cette guerre injuste nous imposée par le Rwanda dans la partie Est de notre pays.
Pour ce qui est État de droit prôné par le président de la République Félix Tshisekedi, Maman Cathy comme les siens l’appellent affectueusement estime que l’entourage du chef de l’État ne l’aide pas à rendre effectif ce slogan. Prenant son exemple, elle a toujours d’énoncé l’instrumentalisation de la justice par un conseiller privé du président Bifort Biselele aujourd’hui incarcéré à Makala qui a par trafic d’influence, manigancé un complot contre elle dans un dossier de sa parcelle situé à Gombe , une propriété privée acquise par elle en bonne et dûe forme aujourd’hui convoité par un certain Kami Kashama qui y était venu comme locataire, tout ceci en complicité avec certains officiers de la police sans penser qu’elle était aussi épouse d’un officier de l’armée.
‘‘ C’est qui est une antorce au respect des droits de la femme, « lâche -t-elle.
Elle a fini cet échange par appeler les uns et les autres à l’ unité pour une la paix durable, le respect des décisions de la justice ainsi que le respect des droits de la femme.
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Jupess Tembue