Le président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso qu’ accompagnait le 2eme vice-président Vital Banywesize , a reçu mardi 31 octobre en audience dans la salle de conférence des présidents du palais du peuple, les bourgmestres de 24 communes de la ville-province de Kinshasa et leurs adjoints .
Au menu de leurs échanges, la situation politique et salariale des bourgmestres .
Après cette entrevue de près d’une heure, le président de la Chambre basse du Parlement, Christophe Mboso Nkodia Pwanga s’est exprimé en ces termes : » Nous avons parlé des problèmes qui les concernent. Ensuite, nous avons parlé de l’insécurité dans la ville de Kinshasa et, enfin, nous avons parlé de la politique, essentiellement de l’Union sacrée de la Nation.
De son côté, le porte- parole des bourgmestres a fixé l’opinion par ces mots: » Nous sommes venus voir le président de l’Assemblée nationale pour discuter avec lui évidemment de tout ce qui nous concerne sur le plan sécuritaire et tout autre problème nous concernant. Et nous remercions le président de l’Assemblée nationale qui nous a reçus, malgré son agenda chargé, il a pris le temps de nous écouter, et il nous a prodigué beaucoup de conseils pour que nous puissions finir cette année en beauté. Nous sommes contents parce qu’il est la personne la mieux placée pour plaider notre cas et écouter nos doléances, les soumettre auprès du président de la République et aussi à la plénière de l’Assemblée nationale.Nous sommes contents de le rencontrer aujourd’hui, nous pensons que nous avons déjà la solution à une partie de nos problèmes ».
S’agissant de la situation des communes qui est restée inchangée, le porte-parole a souligné qu’on ne peut pas dire que la situation de nos communes est restée la même, pas du tout, a-t-il recadré, il y a un progrès énorme. Le chef de l’État veut à tout prix que la situation de nos communes puissent s’améliorer. Aujourd’hui, il y a autant de kilomètres de routes qui sont construits, il y a une conscientisation, une sensibilisation pour que chacun de nous puisse nettoyer sa parcelle pourquoi pas son quartier. C’est vrai la situation était grave, mais nous ne pouvons pas dire que la situation est restée dans le statu quo. Pas du tout, nous sommes en train d’avancer, le pays est en marche et nous pensons qu’à partir de l’année prochaine si la population prend conscience et que nous redonnons encore de plus notre confiance totale au chef de l’État, d’ici 5 ans on va parler un autre langage ».
Cellcom AN et plume infos