Du jamais vu dans un pays normal où tout doit être respecté, rien ne peut justifier des pratiques malicieuses de certains politiciens véreux. Depuis l’avènement de l’actuel comité de gestion de la caisse nationale de sécurité Sociale ainsi que les performances observées dans l’augmentation des réserves stratégiques des pensionnés à la hauteur de 500 millions de dollars américains, Modeste BAHATI n’a jamais trouvé bon sommeil sur ces actions et cherche à tout prix comment brader cette somme pour ses intérêts égoïstes .
Voilà pourquoi Il a influencé la signature de sa Ministre Ndusi Claudine qui gère le ministère de Travail, Emploi et Prévoyance Sociale afin de tripoter l’Ordonnance Présidentielle en changeant les nominés pour les remplacer par des noms qui n’ont jamais été sur cette Ordonnance du Chef de l’État concernant les 4 noms pouvant composer le conseil d’administration de la CNSS.
Selon nos sources , la Ministre Claudine et son mentor politique Modeste BAHATI ont attendu le déplacement du Président de la République aux USA pour procéder à la notification des membres pouvant constituer le conseil d’administration mais ceci va tourner en mal car dame la Ministre aurait procédé au remplacement illégal de MATENDA Athanase et Sébastien KONGOLO par KUSUAMINA BASOLA Yvonne et KOLELA TSHIBANGU Guy qui, du reste leurs noms ne figurent pas sur l’ordonnance du Président de la République lue sur les antennes de la RTNC
Saisi de cette situation, l’avocat conseil du NAD (Parti politique cher à Athanase MATENDA ) aurait touché la machine juridique pour pouvoir mettre au clair une telle chose qui n’a ni soubassement ni justificatif.
Un ministre qui prend le luxe de modifier une Ordonnance Présidentielle ,en vertus de quel pouvoir ? S’interrogent plusieurs observateurs avertis.
La sonnette est tirée pour éclairer la lanterne des autorités flouées dans ce dossier que BAHATI et NDUSI veulent à tout prix créér une crise au sein de cette entreprise de l’État afin de salir l’image du président de la République, garant du bon fonctionnement des institutions.
À qui profiterait cette politique malhonnête que joue ce clic BAHATI-NDUSI ?
L’avenir nous en dira plus.
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