Comme la fois dernière , lors des incidents malheureux qui s’étaient produits le lundi 17 octobre dans l’enceinte de cet alma mater , nous avions soupçonné l’existence d’une main noir dans cette affaire qui pour les acteurs il fallait le faire pour empêcher le DG de L’INBTP, le Professeur Docteur Fils Makanzu Imwangana et ses autres collaborateurs de pouvoir répondre correctement à la demande des autorités de tutelle sur la viabilisation du site universitaire.

Après nos enquêtes , les éléments des preuves parvenus à notre rédaction nous montrent comment l’événement était prémédité par un groupe d’étudiants en complicité avec un membre du comité de gestion.

<< Le pillage systématique du secrétariat, de la Direction Générale et de certains bureaux , le laboratoire de topographie , vols des splits et le jet de pierre sur le véhicule du Directeur Général et Celui de l’administrateur du budget.>> Sont les faits qui confirment cette thèse.
A ce stade , la Jeep du secrétaire général académique n’était pas inquiétée, sa sortie était sécurisée par les acteurs principaux des troubles, et en voulant la suivre ( la jeep du SGAC ) les deux autres véhicules , de l’administrateur du budget et celui du DG n’ont pas trouvé chemin facile chez les acteurs qui ont pu accomplir la mission leur confiée.

Autre élément , c’est l’affirmation de l’ancien vice président du comité sortant des étudiants Monsieur MIKWIN, déclancheur des troubles qui a avoué avoir acheté des sifflets pour troubler la paix sous prétexte des revendications de leurs indemnités de sortie nom payées en tant que membres de la coordination sortante.

Notons que Grâce à l’intervention du gouverneur de la ville Gentiny NGOBILA et aussi de la police nationale congolaise ville de Kinshasa , arrivés sur le lieu vers 16h00 , le calme était revenu sur l’ensemble du site universitaire et une solution pour les 28 et les 50 étudiants sur les 128 vulnérables a été trouvée par les autorités de la ville la même soirée dans la résidence du Gouverneur .

Pour rappel , une entente entre la coordination des étudiants et le comité de gestion était celle de pouvoir transmettre depuis le samedi 15 octobre les listes des quelques membres de la coordination qui devraient rester au home, sensés occupé les 4 chambres , ainsi que les 28 étudiants nécessiteux , n’était pas respecté ni par le président ni par le Maire, personne n’a respecté cet accord jusqu’au lundi 17 au moment où le DG Makanzu faisait la ronde de l’établissement pour se rendre compte de l’effectivité de cette mesure prise par les autorités de tutelle.

Ainsi donc, nous pouvons dire que les indices sont claires sur la manipulation et l’orchestration de ces troubles.

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José 650 Mbulayi.