La province de l’Ituri est confrontée à plusieurs défis,sécuritaires, humanitaires, économiques et sociaux.
À celà s’ajoute la mégestion dans plusieurs régies financières de l’Ituri dont la direction générale des recettes de la province de l’Ituri (DGRPI).
En tant que père des familles,le lieutenant général Luboya N’Kashama Johnny, gouverneur militaire de l’Ituri a instauré une politique pour remettre de l’ordre dans ce secteur générateur des recettes.L’autorité provinciale a passé par la nomination de Alain Maurice Dz’bo LONU à la tête de la direction générale des recettes de la province de l’Ituri (DGRPI) dans le seul objectif de maximiser les recettes provinciales,en vue de lui faciliter la tâche d’exécuter certains projets de développement et d’appuyez les actions militaires dans cette province sous état de siège.
Depuis sa nomination,le DG Alain Maurice s’est mis directement au travail selon la vision de l’autorité provinciale, bloquant ainsi le chemin à tous les réseaux mafieux sur l’ensemble de la province et surtout dans les frontières de Mahagi et d’Aru,dont les recettes profitaient aux individus.
Mais malheureusement, cette bonne politique de l’autorité provinciale mise en place par le DG de la DGRPI, est mal digérée par certains politiciens en mal de positionnement qui travaillent pour leurs propres intérêts, et veullent à tout prix la tête non seulement du gouverneur de province, mais aussi du numéro 1 de cette régie financière provinciale.
Comme preuve,ces personnes mal intentionnées multiplient des messages sans fondement sur les réseaux sociaux, contre la gestion de la chose publique pendant cette période exceptionnelle et surtout contre le DG de la direction générale des recettes de la province de l’Ituri (DGRPI).
Comme on a toujours dit: »celui qui veut du miel, affronte les abeilles »nous encourageons le gouverneur de province de poursuivre sa mission lui confiée par le chef de l’état Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo,et à Alain Maurice Dz’bo LONU, directeur général de la DGRPI de ne pas baisser le bras devant ces ennemis du développement iturien.
À ces politiciens, certains observateurs leur demandent d’avoir au moins pitié de la population Iturienne,en appuyant des bonnes actions qui visent non seulement à lutter contre les fraudes, mais aussi à développer cette jeune province.
Par Saliboko Mangala Pierre